[DOSSIER] Lancer et présenter un projet BD

YEP

gros merci a toi cette article c'est de l'or en lignes :) :|
 
Présentation projets BD à Delcourt (Angoulême) : attention

Juste pour avertir les personnes désirant présenter leur projet BD aux Editions Delcourt à Angoulême.
Le festival ayant encore revu sa configuration, la place manque et le stand Delcourt ne pourra pas cette année accueillir les personnes faisant la queue pour montrer leur projet.

Cependant, il vous est possible d'envoyer dès maintenant vos dossiers par mail, et si vous êtes retenus, un rendez-vous sur le festival vous sera proposé.

Toutes les infos sont sur cette page :
http://www.editions-delcourt.fr/actuali ... _angouleme

Ainsi que sur la page d'infos Delcourt/Angoulême :
http://www.editions-delcourt.fr/special/angouleme2008/
 
Allez, je rajoute mon grain de sel au thread informatif, en tant qu'ex-directeur-adjoint de librairie... pour vous dire un peu comment ça se passe de notre côté.

Tout d'abord, dans la plupart des librairies, le rayon BD n'est qu'un département parmi d'autres (hormis librairies spécialisées)... ergo: la surface de présentation des nouveautés est restreinte.

Les librairies font en général 40% de marge. Les distributeurs 30%. Normal? Oui. L'éditeur cumule les ventes globales, le libraire non (lorsque l'éditeur vend 15 000 albums, la libraire n'en aura vendu peut-être que 500, donc il doit prendre une marge plus grosse pour survivre).

Voici comment fonctionne la chaine:

L'éditeur réalise et imprime le livre. Il place ses livres chez un distributeur, qui va lui offrir un service de stockage et de représentant (le gars qui se déplace en librairie pour essayer de les placer chez le libraire).

Un distributeur NE VEND PAS les livres aux librairies. Ce n'est pas pour rien qu'on parle de placement. Tous les invendus retourneront chez le distributeur contre remboursement.

Le libraire se chargera de vendre le livre. Il a le contrôle absolu sur le placement et la présentation du livre. (Combien d'auteurs sont venu me voir pour me demander pourquoi leur livre n'était pas en avant...)

Quelques termes techniques:

Les nouveautés sont appelées des OFFICES. Cela est dû au fait qu'avant, les nouveautés étaient envoyées d'office au libraire. Aujourd'hui, trop de nouveautés implique un choix. Donc, les libraires passent des commandes, mais on appelle encore les nouveautés des offices. Ils sont choisis sur catalogue par les acheteurs de la librairie. C'est très mauvais de se retrouver à la fin de se catalogue, parce que l'acheteur aura déjà dépensé tout son argent dans les premiers titres. Si il y a une personne qui a une influence dans le placement de vos BD, c'est bien le représentant, qui va guider l'acheteur dans ses choix.

Les offices sont retournables 3 mois, 6 mois, ou 1 an après la parution.
Donc, tout livre de moins d'un an est un office à nos yeux.

Les commandes régulières sont appelées des RÉASSORTS. Il arrive que nous achetions des livres (vente ferme), la plupart du temps ce sont des livres que nous sommes sûr de vendre régulièrement et qui composent notre fond de stock (Victor Hugo et consort).
Évidemment, nous préférons toujours attendre une réédition pour commander un livre, afin de le passer en office.

Il arrive que nous passions des accords avec les éditeurs pour mettre en place des PROMOTIONS avec ENTENTE SPÉCIALE. Exemple: Bragelonne voulait qu'on mettre leur livres en valeur avec un présentoir. Ils envoient le présentoir et des quantités pour le remplir. On renvoie le tout à la fin de la promo.

La dernière option, et elle est très utiles pour ceux qui veulent s'auto-éditer ou les petits éditeurs sans distributeur:

La CONSIGNATION (court ou long terme).Vous faites affaire en personne avec la librairie. Évidemment, ils vous imposeront leurs conditions, parce qu'ils sont plus fort et plus gros... Ce n'est que du placement de particulier. Mais, ce qui est cool, c'est que vous pouvez négocier la durée! On ne vous retournera pas du jour au lendemain, mais selon les dates qui ont été négociées.


Vous comprenez donc comment ça marche. Un office qui ne vend pas, bing! retour au distributeur après 3 mois (ou alors, on réduit les stocks. exemple: on en avait commandé 10, ça vend pas, on en garde 2 et on en renvoie 8)
Ergo, une BD a 3 mois pour faire ses preuve et vendre. MAIS, il ne faut pas vous faire d'illusion: votre BD sera à l'avant avec les nouveautés 1 semaine ou 2, et si la pile n'a pas baissée, elle retournera dans les bacs avec un onglet à son nom. Je parle toujours d'une librairie générale grand public.

Donc, si les éditeurs sont tout exigeants et chiants avec les auteurs, comprenez qu'ils ont des grand groupes de librairies de l'autre côté, qui ne sont rien d'autre que des commerçants (à part quelques passionnés, mais bon, tôt ou tard, ils devront vendre pour survivre).


Bon, c'était pour partager mon expérience avec vous. Je sais que ça ne traite pas de la façon de monter un dossier pour un éditeur, mais je pense qu'un auteur bien averti sur son milieu en vaut deuz! Je voulais partager l'info. J'espère que ça peut éclaircir certains points.


:)
 
salut à tous ceux qui ont participé à ce topic, et merci beaucoup, toutes vos infos sont une source précieuse au moment où quelqu'un s'apprete à faire partager son travail avec des editeurs, comme je vais le faire incessament sous peu lol !
Alors j'aimerai juste poser quelques questions complémentaires à tout ça, j'en ai pas vu les réponses et des que je sais ça, le dossier part ! lol !
-Concernant les notes d'intentions, vous avez dit grosso modo ce qu'il fallait y marquer mais pas comment il faut le presenter, pouvez vous le faire en prenant un exemple comme blacksad ? (eh oui, encore lui ! lol)
- pour envoyer un dossier, les editeurs preferent à l'heure actuelle du papier ou numerique ?
- j'ai oublié mes autres questions mais je reviendrai les poser quand j'y penserai ! lol !

à plus, et merci d'avance pour les futures reponses !
 
les éediteurs préfèrent le numérique par mail, parce que c'est plus rapide, en plus tu es relativement sûr qu'ils le reçoivent et le lise (bien sûr si tu prends la peine de les avertir avant et de te faire connaître..etc..) alors que papier ça prends du temps, et ça tombe dans une pile énorme, qu'il faut survoler et tu obtiens une réponse 2 ou 3 mois plus tard.

Donc en résumé le mail c'est quand même bien.
 
un nouvel article pour relancer le débat ?...

Salut à tous,

après vous avoir beaucoup lu sur le forum, je me lance et poste enfin...
En effet, je termine mon dossier sur un projet de série (3 tomes); en cherchant + d'infos sur la mise en forme du fameux dossier, j'ai fini par tomber sur cet article :
http://www.epiceriesequentielle.com/for ... c.php?t=23

qui semble pertinent, et où il est dit notamment d'aller VRAIMENT à l'essentiel : pas besoin de couv ultra accrocheuse, ni de mise en page à la compo super graphique, tant que les planches de qualité sont là, ainsi qu'une histoire percutante.

Cet article m'a interpellée, alors que je cherchais des infos sur la note d'intention et son contenu... Je m'apprête à "trifouiller" une fois de plus mon projet pour en extraire de quoi rédiger une note convaincante, mais finalement à la lecture de cet article, je me demande si c'est nécessaire :

Je repense à ce que disait plus haut Timon,
timon":2msf2fxj a dit:
La note d'intention est la chose la plus importante (formule pompeuse mais en partie vraie ^o^)
La note d'intention te permet de dire ce que tu veux exactement. Si ton synopsis raconte l'histoire d'une enquête policière. Le sujet est vaste. La note d'intention te permet de dire ce que tu veux faire passer à travers ton histoire policière (l'intelligence, la force, la cruauté, la roublardise du héros), de dire aussi quel thème tu veux aborder (écologie, argent, pouvoir, amour, fraternité ...), dans quel style (sombre, gai, comique ...) etc

et à quoi répond en quelque sorte l'auteur de l'article :

Enfin...Les notes d'intention. Ces petites bêtes fleurissent dans les dossiers comme le chiendent dans un jardin municipal. Si vos intentions ne passent pas dans votre scénario, pensez vous qu'une note sera suffisante? Ne serait-il pas plus malin de réécrire le synopsis voire le scénario pour que ça passe mieux? A vous de voir, mais si votre projet est bon, ces choses là sont inutiles.


Qu'en pensez-vous ???

Merci :D
 
Que c'est n'importe quoi. :D

L'éditeur a besoin d'une vue d'ensemble immédiate et du projet (les planches servent à ça, la couv' c'est le plus qui va bien), et des auteurs et de la visibilité qu'ils ont de ce qu'ils veulent faire.

La note d'intention permet à l'éditeur de saisir si les 4 planches mirrifiques qu'il a sous les yeux ne sont qu'un artifice, ou si derrière, il y a un ou deux cerveaux (ou plus) qui savent ce qu'ils font, et qui seront donc à même d'assurer sur la longueur.

C'est de plus un excellent exercice pour le scénariste, lui permettant de tester la cohérence de son propos et sa capacité à l'exprimer de façon ramassée. Le scénario, il a le temps de changer 10 fois au gré des remarques des différents intervenants dans le projet, par la suite.

La chance d'accrocher un éditeur, elle, ne se présente qu'une fois, au moment du dossier.

Maintenant, je tempère mon propos: il s'agit de l'avis d'un (seul) éditeur. Donc comme il le dit très justement, il faut ne prendre en compte que 10% de ce qu'il dit, comme ce qu'il préconise pour les auteurs. :D

(En revanche, il est lumineux sur le principe du dossier... BD. On ne répètera jamais assez ces évidences là)
 
Héhé !

Merci Henscher, je me doutais que ça provoquerait une réaction, cet article :p

Ta remarque sur l'utilité de la note d'intention (comme un principe essentiel du projet finalement, qui pose les jalons à respecter même en cas de mutation du scénario) semble justifier sa présence même... et ça m'aide pour sa rédaction, car j'avoue que l'exercice n'est pas évident ! J'ai capté un peu tard qu'un tel document était recommandé lors de la constitution du dossier.

Sur ce j'y retourne, justement... y'a du pain sur la planche ! :twisted:
 
Déjà, avant de discuter de la théorie de la note d'intentions et du dossier idéal, il faut aller voir ce que demandent les éditeurs. Or, ils ne demandent pas tous la même chose...

Prenons Glénat, par exemple, qui nous dit :
"Pour la conception de votre dossier, n'hésitez pas à aller à l'essentiel, à nous présenter ce dont vous êtes le plus fier. Il n'y a pas de règle stricte à suivre pour l'élaboration du contenu du dossier, mais certaines pièces seront néanmoins les bienvenues :
* Un court synopsis de 4 ou 5 lignes du projet. Un synopsis du premier tome (si vous avez le projet d'une série) d'une dizaine de lignes.
* Quelques photocopies de planches en noir et blanc, encrées et lettrées. N'envoyez pas d'originaux. Ces pages doivent être le début d'une histoire.
* Il est également intéressant d'envoyer plusieurs projets de quelques pages en même temps plutôt que de réaliser trente pages d'un seul. L'éditeur qui vous engagera ne vous proposera pas forcément de travailler sur votre projet, mais pourra entreprendre une collaboration avec un scénariste confirmé.
* Les photocopies de planches en couleurs peuvent être envoyées si elles existent, mais elles ne sont en aucun cas indispensables.
* Un éventuel story-board.
* Une étude des différents personnages, avec croquis à l'appui.
* Des photocopies des travaux déjà publiés, si tel est le cas."

D'autres éditeurs ne donnent aucune démarche à suivre. Certains demandent une note d'intention, plus un synopsis du scénario en quelques pages, plus des recherches de perso, plus des story-boards, en sus des planches encrées (si possible).

Voilà les indications de Delcourt (qui se trouvent peut-être dans ce sujet) :
http://www.editions-delcourt.fr/special ... ier_bd.php

Personnellement, j'ai fait un peu mon "marché" parmi les diverses recommandations, et décidé de m'en tenir à une note d'intentions (Synopsis, Tonalité, Format) d'une page, suivie d'une présentation des persos (sans "recherches"), les 7 planches encrées de notre dossier, et quatre lignes sur chaque auteur (moi et le dessinateur) en fin de dossier.
Il m'a semblé qu'avec sept planches, il y avait moins besoin d'en faire des tonnes sur le scénario ou sur les persos : ils y sont tous et je crois que cela donne déjà une bonne idée de la technique scénaristique. Si l'éditeur aime, le synopsis lui a résumé l'ensemble de l'histoire, les fiches persos ont d'ailleurs développé certains points, et l'éditeur est un grand garçon, ou une grande fille (mais la présence féminine semble bien rare) : il pourra toujours demander des compléments d'information, et engager une conversation rien que "pour voir plus avant".
 
Pour poursuivre sur le lien que j'ai mis plus haut, au final il semblerait en effet soit un peu fantasque, ou réducteur, ou surtout qu'il ait le défaut de poser en règle universelle (du type "la vérité ENFIN sur la constitution des dossiers BD"...) un point de vue personnel qui aurait dû n'engager que son auteur... Par contre, il a au moins l'avantage de décomplexer un peu celui qui est face à l'élaboration de son dossier : en lisant ça, j'ai réalisé, comme le souligne Nuages, que chacun voit un dossier à sa façon, tant auteur qu'éditeur, voire que tel projet ne nécessitera pas le même développement que tel autre en terme de présentation de persos, nombre de planches etc.

Une fois que le dossier semble se tenir, et qu'il parle de lui-même sans qu'on ait besoin d'être par-dessus l'épaule du lecteur pour donner telle ou telle précision sur le lieu, les persos etc., je pense qu'on doit pouvoir dire qu'il est complet :) après, la qualité du contenu, c'est une autre histoire... mais ça tombe bien on est là pour en raconter alors... ;)

Pour ma part, en charrette depuis quelques jours pour boucler tout ça, j'ai finalement opté pour une phrase d'accroche+note d'intention (qui a trouvé son utilité grâce à Henscher ;)), 3 planches couleur/lettrées, les 3 mêmes en NB, 2 planches suivantes crayonnées. Une page de synopsis court des 3 tomes, 1 page présentation succinte des persos, et en annexe le séquencier du tome 1 puis les synopsis des T2 et 3.
 
De toutes les manières, si vous ne savez pas quoi mettre exactement dans votre dossier, parce que les éditeurs sont tous différents, ou d'autres raisons diverses de présentations...etc...Il suffit de réfléchir un instant:

A quoi sert un dossier? (en dehors de vendre un projet..etc..)

A REPONDRE AUX QUESTIONS QUE SE POSENT UN EDITEUR.
Et TOUS les éditeurs se posent au moins ces mêmes questions:

-Quel genre d'histoire est-ce? (sci-fi, thriller, gags...etc..)

-De quoi ça parle? Est-ce original? Le scénario est-il bon? Le scénariste sait il où il va?

-Quelle est la taille de l'histoire? combien d'album? Quel nombre de pages?

-Quel est le style graphique? / Le dessinateur a t'il les qualités requises?

-A qui ai-je affaire? Les auteurs ont-ils suffisament de maturité professionnelles? Sont-ils capables de tenir des délais?


Voilà, plus ou moins dans l'ordre les questions élémentaires que se posent tout éditeur.
Votre dossier doit répondre à ces questions. Attention, il n'est pas question ici d'avoir de réponses définitives.

Non, mais comprenez bien qu'il s'agit pour l'édteur de jauger la proposition qu'on lui fait.
A priori il est ouvert à tout (en principe, en tous cas on va faire comme si!).
Chaque personne vient le voir avec une "affaire" à lui proposer. Il lui faut se faire une idée du potentiel de l'histoire en elle-même. Ensuite avec tout ses paramètres, sont-ils adéquats, réalistes, conviennent-ils à cette histoire? tout simplement.
Quels sont les risques qu'il prend? Qui sont les personnes qui lui soumette cette "affaire"?
Cette question est sans doute la plus importante, dans la mesure ou elle peut remettre en cause les réponses aux questions précédentes.
S'il sent que vous avez les épaules, et que le projet l'intéresse, peu importe le nombre d'albums ou de pages, tout se discute. En revanche s'il pense que vous ne faites pas le poids, alors attention! Le combat sera difficile.
Je sais que ce n'est guère agréable d'envisager la BD sous cet angle, mais il ne faut pas se leurrer, c'est comme ça que ça se passe. Bien sûr, ces gens là sont humains tout simplement, ils peuvent donc aussi être charmés, surpris ou enthousiasmés et cela en dépit de toutes règles. Mais cela ne veut pas dire pour autant qu'un tour de passe-passe suffit.

Faîtes votre tour, aussi magique qu'il puisse être, charmez-le, mais travaillez les bases, elles sont les garantes de votre succès, car un numéro aussi réussi soit-il ne dure qu'un temps et la bande dessinée est un marathon qui lui peut durer plus qu'on le prévoit.
 
Memi":3jjasaj1 a dit:
Faîtes votre tour, aussi magique qu'il puisse être, charmez-le, mais travaillez les bases, elles sont les garantes de votre succès, car un numéro aussi réussi soit-il ne dure qu'un temps et la bande dessinée est un marathon qui lui peut durer plus qu'on le prévoit.

+ 3 millions.

Les vrais ennuis commencent une fois que le contrat est signé. :D
 
J'ai acheté au début du mois le hors-série de DBD : 2008, le bilan complet d'une année de bande dessinée.

Je le recommande chaudement à tous ceux qui voudraient se frotter au monde éditorial de la bédé, car il fait un bilan assez fournit de la situation du marché, éditeur par éditeur.

On y apprend entre autres que la plupart des éditeurs comptent conserver leur ligne éditoriale pour l'année 2009, en termes de nombre d'albums publiés, et quelques infos par-ci par-là sur les type de projets attendu (par exemple, les séries ont moyennement la côte, et pas mal d'éditeurs préfèrent favoriser les one-shot ou les diptyques que les trilogies...).

Bon c'est assez touffu donc je vais pas m'étendre pour le moment, mais si ça vous dit je veux bien me coller à faire un compte rendu ici-même un de ces jours...
 
bonjour

je me rends compte tardivement que j'avais créé un sujet mais que c'est peut-être plutôt ici que j'aurais dû poster.
Alors voilà un petit lien vers un dossier envoyé il y a quelques années chez différents éditeurs par voie postale.
Retenu dans un premier temps chez Dargaud, puis abandonné pour différentes raisons évoquées dans le site. Je pense que l'ensemble peut se révéler instructif pour les débutants ou ceux en quête de formalisation de leur dossier.
Pour les scénaristes en herbe, à noter les commentaires d'Hensher après la note d'intention et le synopsis.

http://www.ghv.fr/bede/
 
Yo tout le monde,

Je voudrais d'abord remercier les auteurs qui ont allimenté le topic de leurs précieux conseils.
En effet, celà fait quelques mois maintenant que j'ai découvers le forum (Tout en connaissant l'artbook CFSL depuis pas mal de lunes...Etrange n'est ce pas?). Et ce topic en particulier m'a permis, avec d'autres infos sur le web, de constituer mon premier projet BD.
Evitons la mise en garde sur les très probables échecs de la premiere présentation d'un auteur, je m'y attend plus ou moins.
Mais comme il faut bien commencer quelque part et que je n'aime pas faire les choses à moitié, j'ai pris mon temps pour le fignoler. Puis qui sais...Il existe toujours une exeption aux regles :)
Je comptes envoyer mon dossier dans très peu de temps, car mis à part une petite couverture à faire, il est en phase de correction.

Bref, j'ai tout de meme quelques questions qui me turlupine...

- Quel support pour un envoi postal ?
(Dossier Relié, Spirales, Feuilles Volantes, ect)
Quel support conseillez/utilisez vous?

- L'envoie par mail est t'il vraiment une bonne idée?
Certains d'entre vous ont mentioné l'envoie par Mail. J'ai tout de meme peur que celui-ci ne mette pas en valeur un projet. Mais dans le cas ou vous le conseillerez plus qu'un envoi postal, quoi mettre dans son mail? Doit on juste faire une rapide présentation dans le message et joindre quelques planches (Avec promesse d'autres travaux si intéréssé)?

-Y'a t-il un topic de présentation sur le forum? ^_^

Merci d'avance :wink:
 
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