Butô...Butoh...

:D Bonjour et merci pour le"coup de pouce" mais je vais plutôt vous donner l'adresse de notre blog qui est actualisé régulièrement, tandis que notre site et un peu... il faut qu'on le repense complètement!!! (et il faut du temps qui nous manque un peu!)

sur notre blog vous pourrez avoir toutes les infos sur le contenu du stage et....vous inscrire....et voir un lien avec le site d' ATSUSKI TAKENOUCHI.....avec des extraits vidéo de ses spectacles.

http://eqart.over-blog.com/

A bientôt :mrgreen:
 
Personne n'a assisté dernièrement au cycle de butô au théâtre du Proscenium, à Paris ?
 
Hop, un ptit lien, http://www.theatre-leproscenium.com/dat ... 7/yumi.htm
Personnellement j'ai assisté à deux représentation différentes. La première mettait en scène six ou sept danseurs (2 japonais et le reste d'occidentaux), investis dans des état assez extrêmes; tantôt plongés dans des convulsions accompagnées de cris, tantôt naïfs et souriants (de manière assez effrayante il faut bien l'avouer). La seconde représentation constituait en un unique duo, homme/femme, bien plus orientée vers l'érotisme et la morbidité. A noter, l'agréable prestation instrumentale (Lena Circus), bien que complètement expérimentale et des plus abstraites qu'il puisse y avoir (là encore, amusant, les musiciens étaient de jeunes occidentaux).
 
Topo explicatif sur le butô assez bien fichu:


Le mot butô (bu : danse et to : fouler le sol) fait référence aux rituels shintoïstes, religion traditionnelle du Japon, antérieure puis mêlée au bouddhisme. Ces pratiques rituelles étaient destinées à communiquer avec les kamis (les esprits) des défunts, pour être un médium entre le monde des vivants et la mémoire des disparus. En tant que forme chorégraphique contemporaine, le butô apparaît dans les années cinquante. On a coutume se considérer le spectacle Kijinsky (« couleur interdite ») de Tatsumi Hijikata, en 1959, comme son acte de naissance.

Le Japon est alors anéanti moralement et matériellement par la guerre : la défaite et le traumatisme nucléaire sont encore des plaies à vif. C'est aussi une société écrasée par un carcan de normes sociales, morales et corporelles extrêmement strictes, dans laquelle toute représentation de la mort et des corps « anormaux » est bannie. Mais déjà, le pays panse ses blessures par une course effrénée au développement technique et scientifique afin d'égaler le modernisme occidental alors érigé en modèle. La danse butô s'impose alors en réaction contre la modernité, le culte de la vitesse et de la performance. Elle explore le ralentissement du mouvement et l'introspection, à l'instar du précepte de George Bataille dans La Part Maudite : « l'art comme le traitement d'un excès dont l'individu est porteur ».

La dimension rituelle du butô se rapproche aussi des liturgies dansées du culte à Dionysos, dieu du vin, de l'ivresse sensuelle et mystique dans la Grèce antique. Au-delà de la simple analogie : dans certaines tragédies grecques, comme Les Bacchantes d'Euripide, Dionysos est surnommé « l'étranger ». Paradoxe, ce dieu, associé à la culture grecque, est plutôt une figure mythologique présente dans toutes les cultures indo-européennes. L'histoire des religions a ainsi découvert des traces de son culte, et de ses représentations, en Inde, en Chine et au Japon.

Cette interculturalité essentielle du Butô est également au cœur de sa genèse comme courant chorégraphique contemporain : les premiers artistes butô (Tatsumi Hijikata, Kazuo Ohno, Ko Miruboshi) se tournent vers l'Europe pour y puiser des influences littéraires. Ils introduisent Sade, Lautréamont, Artaud, Genêt et Bataille au Japon. L'expressionnisme allemand des années 20 et 30 est l'autre influence occidentale majeure, tant sur le plan pictural que chorégraphique : Hijikata, Ohno puis Carlotta Ikeda ont tous été formés aux techniques de Marta Grahm et de Mary Wigman. Nombre de leurs travaux rappellent les œuvres cultes de Wigman, Totentanz (1917) et La Sorcière (1913). Réactions esthétiques à l'axe politique Berlin-Tokyo ? L'expressionnisme allemand est, dans son angoisse et ses violences, un pressentiment du fascisme naissant en Allemagne. Le Butô se place alors comme un témoignage et un exorcisme de l'expérience d'un tel régime au Japon.

Mais les artistes Butô viennent aussi chercher reconnaissance et légitimité en Europe : jusqu'au milieu des années 70, ils sont très marginalisés dans leur pays, et n'y sont pas du tout reconnus comme des artistes. Ils trouvent en particulier audience en France, à l'occasion du Festival de Nancy en 1971, du Festival d'Automne en 1978 et au Théâtre de la Ville à Paris. Puis, dernière étape de cette dimension interculturelle, de nombreux chorégraphes français viendront se former au Japon au début des années 80.

http://www.fluctuat.net/2567-Introducti ... o-partie-1
 
Pour les frustrés ou les curieux, d'autres repréentations en perspective à Paris, avec l'assos culturelle franco-jap
BUTO2007.gif


http://www.tenri-paris.com/FESTIVAL_SPE ... cle_1.html
 
Edel W.":3lzfz0vt a dit:
Hop, un ptit lien, http://www.theatre-leproscenium.com/dat ... 7/yumi.htm
Personnellement j'ai assisté à deux représentation différentes. La première mettait en scène six ou sept danseurs (2 japonais et le reste d'occidentaux), investis dans des état assez extrêmes; tantôt plongés dans des convulsions accompagnées de cris, tantôt naïfs et souriants (de manière assez effrayante il faut bien l'avouer). La seconde représentation constituait en un unique duo, homme/femme, bien plus orientée vers l'érotisme et la morbidité. A noter, l'agréable prestation instrumentale (Lena Circus), bien que complètement expérimentale et des plus abstraites qu'il puisse y avoir (là encore, amusant, les musiciens étaient de jeunes occidentaux).



:D aaaaah sacré Olivier ! Décidément il a vraiment bon goût pour sa programmation.
 
Tiens tiens, marrant de voir un post sur le butô ici. Je viens de terminer mon mémoire de DEA sur le butô, si ça intéresse des gens, je le transmets volontiers !
 
Merci Allart, je mets ces vidéos en chargement :)


En attendant, je vous transmets l'actu de Carlotta IKEDA qui sera de passage à Paris en Janvier (viiiiiite, aux réservations!)


UCHUU CABARET : Du 16 janvier 2009 au 17 janvier 2009 @ Theatre Silvia Monfort / 106, rue Brancion / Paris

Dans le cadre du Festival Faits d'Hiver- Danses d'Auteurs.

Avec Carlotta Ikeda, Mathilde Lapostolle, Olia Lydaki, Emanuela Nelli, Valérie Pujol, Anna Ventura, Mélissa Von Vepy.
En Japonais, Uchuu veut dire “espace”, “cosmos”, “univers”. Pour moi, ce terme exprime ce que je ne connais pas. Uchuu est le lieu où flottent les imaginaires. En écrivant ce cabaret, je veux explorer ces imaginaires et figurer le vertige des songes. Fussent-ils enfantins. Le sol me retient, m’empêche et me contraint. Alors, une fois encore, je vais regarder à l’intérieur de moi, provoquer les impossibles et m’accorder le temps du rêve. Mon cabaret peindra ce rêve. Je le pressens fantastique et curieux.

Cette revue est une machinerie cosmique, un appel aux étoiles, une cérémonie lumineuse qui tend ses bras vers le ciel et y projette des corps colorés. La terre enserre mais le regard rêve au-delà de l'horizon, les humains trempent leur mystère dans la beauté des images. Les femmes agissent et transmuent l'apparence pour mieux se perdre, nous tromper.
A la fin, pourtant, la révélation (de quoi ?, du plaisir sans doute) se dévoile.
Le cabaret est la plus mensongère vérité, l'accès le plus direct au rêve. Le règne des frissons. La magnificence de la peau.

Carlotta Ikeda


uchuu-cabaret,343966.jpg



www.ariadone.com/pdf/parcourscarlotta.pdf
 
Ateliers du Butô sur Lyon...
Avec Yoko Higashi...
http://fr.wikipedia.org/wiki/Y%C5%8Dko_Higashi
http://www.youtube.com/watch?v=etypqpfjaSY


les dates sont suivantes:

en Mai
les 24 et 31

en Juin
les 7 et 21

Nouvelles horaires:
de 10h30 à 13h

Nouveau tarif:
18euros/
15euros pour : étudiants, bénéficiaires du RMI.

+ 10 euros de la cotisation annuelle de la salle .

Adresse est toujours: 23 rue Tramassac 69005 Lyon


Attention!
-L'inscription par mail ou téléphone est obligatoire, au plus tard 10 jours avant la date de l'atelier.
-Si le nombre de participant est inférieur à 5 personnes, l'atelier sera annulé.
-Une fois vous êtes inscrits, en principe, vous ne pourrez pas annuler votre participation (sinon c'est difficile à gérer! merci de votre compréhension..).


Yoko Higashi
tel 06 09 46 31 46
 
FESTIVAL BUTO 2009
du vendredi 5 Juin au mercredi 24 Juin 2009 à 20h30

http://www.tenri-paris.com/ecbp/fest/

iwana.jpg



① Ippei HOSAKA “ Kéméko Show ”
recréation: 2009 / durée: 55 min
Je m'appelle Kéméko et je suis une petite fille.
Je suis toute seule dans ma chambre.
Parfois, j'ai peur de la nuit.
Où est la frontière entre le monde de l'éveil et le monde du sommeil?
Je ne sais pas alors je ne dors pas.
Je m'amuse toute seule dans ma chambre...

Un jour je sais que je deviendrai une adulte.
Quand je serai adulte le monde sera différent.
Comment est fait demain?
Je suis curieuse mais un peu peureuse.
Je ne sais pas si je préfère aller voir ou pas.
Alors je joue dans mon monde où le temps n'existe pas.

C'est quoi la différence entre un enfant et un adulte?
On va où quand on va mourir?
Pourquoi il y a des hommes et des femmes?
Où est la frontière entre le monde réel et le monde imaginaire?
Tant de questions.

Moi je ne comprends pas tout, parce que je suis encore trop petite...
On comprends mieux quand on est grand?

Chorégraphie/ Interprétation/ Costume : Ippei HOSAKA
Musique & bruitages : Bruno FERNANDES
: Glenn GOULD
: Lata MANGESHKAR
Lumière : Margot OLLIVEAUX, Mioko TANAKA
Collaboration Artistique : Hervé RUELLAN, KOS-CREA, MARICO
Cette pièce à été montée au théâtre Daniel Sorano, Vincennes en Oct 2008,
en collaboration avec la Compagnie La Taverscène.

② Yuko OTA “ les enfants perdus”
durée : 40min


Mise en scène, costume, interprétation : Yuko Ota
Tristan Edelman collaborateur chorégraphique
http://millenary-euphoria.net

HELAS, QUI A TUE L’enfant ?

DANS LE TEMPS, LES GENTS ETAIENT AVEC L’enfant ET LA SOURCE.
MAIS LEURS YEUX SONT TRITUREES PAR TANT DE COULEURS ET DE MOTIFS SAUTILLANTS ET LEURS OREILLES SONT TORDUES PAR LE VOLUME TYRANIQUE... ET ILS NE SE RENDENT PLUS A LA SOURCE DANS LA CAVE POUR EXPLOITER LE TENEBRES ET ILS NE CHERCHENT PLUS A VISTER L’enfant... ILS NE DONC REALISENT PLUS QUE L’enfant ET LA SOURCE DEPERISSENT.

les 9(ma) et 10(me) juin
③ Jean-Daniel Fricker “ i ”
durée : 40min

Interprétation, chorégraphie, mise en scène : Jean Daniel Fricker
"Il ne suffit pas de se déshabiller. Encore faut-il se mettre à nu.
D'emblée sortir de soi-même, pour s'effondrer en soi. Se tordre et se distordre. S'enfanter vulgairement, jambes écartées, pour se confondre avec l'enfant inachevé jailli d'entre les jambes, telle une balle improbable saisie à la croisée du hasard. Jouer comme à l'origine [...] " Jean-Noël Pelen (Chargé de recherche au CNRS)

Premier "jonglorsionniste", Jean Daniel Fricker est un artiste singulier
qui allie, avec caractère et intrépidité, ses pratiques de danse, jonglage et contorsion. Il a joué ses performances; "L'Oiseau Brank", "Parole", "Feu", " i ", "Prières", dans plus de vingt pays, explorant des thèmes telles la vulnérabilité de la condition humaine, son animalité, la notion de requiem, de spontanéité. http://www.jonglorsion.com








④ Celine Angèle “La Femme Ailée”
durée : 25 min
Mise en scène et chorégraphie: Jean Daniel Fricker et Céline Angèle
Une Danse de la Mémoire où résonne l'être humain touché dans sa chair la plus intime, dans ses Silences et dans ses Cris.
Imprégné depuis la peau jusqu'à l'âme, se Dénuder, Renaître.
L'espace devient extension du corps, lieu de rituel où se révèlent les métamorphoses de l'âme.
Dédié à Klo
CELINE ANGELE reçoit une formation en Arts Dramatiques et travaille sur Paris pendant une dizaine d’années. Double championne de france de Judo et consciente de l’importance du corps chez l’acteur, elle mène une recherche sur la poétique du corps et son langage organique explorant le sublime et le monstrueux.
Un corps à la fois dense et sensible l’amène à rencontrer le Butô, qu’elle pratique ces cinq dernières années avec de nombreux danseurs et danse pour différentes compagnies. Actuellement, elle poursuit sa recherche auprès de Jean Daniel Fricker en France et à l’étranger. celineangele.blogspot.com
⑤ Gyohei Zaitsu “Une fleur sans nom” 40min

danse : Gyohei Zaitsu
musique : Taca (accordéon)








les 12(ve) et 13(sa) juin
⑥ IMA TENKO
“AKATSUKI (Aube)”
durée : 40min

Danser dans un “point de mort” (ma-間) : le dynamisme jallessant du “point mort”,
né du face-à-face des contradictories---la vie et la mort, l’homme et la femme, le substance et la notion, l’émancipation et la contrainte, la tradition et la avant-garde… le panoramique des rencontre.




⑦ Carey Jeffries
“Ballade sur Mars”
durée : 40min

son : Pascal Batu , pick up
vidéo : Pablo Altés

Un être, une âme, pas sur terre, mais sur une planète proche , inhabitée? sèche, glacée, chaude, vaste, désertée, organique, et stupéfiante,
on se ballade et on s'amuse sur un ton oriental...
Carey Jeffries danseuse chorégraphe britannique continue de créer son univers personnel de butoh a travers son parcours influencé par plusieurs danses.
yoga et d'arts plastiques.




Les 16(ma) et 17(me) juin
⑧Nanami Kohshou “ Au bout du vent ” 40 min

Puisque dans l' atmosphère le vent naît des écarts de température, pression ou autres, comment imaginer ce qu' est le "bout" du vent ?
On aura beau agir, contrecarrer les écarts en question, cherche à tout égaliser rien n'y fera. La destinée du vent est de ne jamais finir.
Parfois d' être dans le vent fait croire qu'il s' est arrêté mais il ne s'agit que d' un point, cela ne veut pas dire pour autant qu' on soit arrivé à bout du vent ...
D' ailleurs il n' y a qu'à voir... Ce grand vent d' uniformisation qui souffle sur le monde.

⑨Cie Yumi Fujitani ( Clément Roussillat, Giulia del Bene)

“RAKUGAKI DANSE”
durée : 40min danse: Yumi Fujitani,Clément Roussillat,Giulia del Bene
musique : Nicolas Moulin
Rakugaki Danse - Danse griffonage de Tyltyl et Mytyl & Yumi Fujitani.Tyltyl et Mytyl sont dans l'histoire de Maurice Maeterlinc “ L'oiseau Bleu”.
















les 19(ve) et 20 (sa) juin
⑪Atsushi Takenouchi “ Kakela ” fragment

Musique en live Hiroko Komiya
Je suis juste un fragment.
Qui sait d’où vient ce fragment ?
Qui suis-je ?
Il faut toute la vie pour répondre à cette question.
Avant d’être un fragment, vous et moi ne faisions qu’un.
Avant d’être un fragment, le ciel et moi ne faisions qu’un.
Avant d’être un fragment, la mer et moi ne faisions qu’un.
Il y a des millions d’années, nous n’étions qu’une seule chose.














les 23(ma) et 24 (me) juin
⑫ Masaki Iwana “ Princesse Uragiri (Trahison)”

Claude Parle (accordion)
Jacques Sadoun (photo)

Princesse URAGIRI


Dans la trahison,

Celui qui a trahi

Celui qui a été trahi

Les deux souffrent.

La douleur de celui qui a trahi

Niche à l’intérieur et ronge éternellement.

Sa continuité, sa souplesse et sa pourriture,

Elle est un objet.


****************************************************
2eme film de Masaki IWANA ″ Famille d’Ete″
viens de finir le tournage !
On cherchons le post production !

Danseur de buto, Masaki Iwana, se produit régulièrement depuis 1988 dans toute l’Europe
ainsi qu’au Japon. Il réalise en ce moment son deuxième film en 16 mm, noir et blanc.
Il est l’auteur du scénario ainsi que le metteur en scène.

"Danseur de buto* d’un certain âge résidant dans une zone rurale en Basse-Normandie- France,Kamimura(62 ans) mène une double vie, ou plutôt un cycle d’allers et retours. À chaque retour de mai, sa femme Akiko (47 ans) qui réside à Tokyo arrive en Normandie accompagnée de Mayu (8ans), leur fille pleine de vivacité.
Dans un chassé-croisé, une jeune danseuse de buto Yuzuko(32 ans), qui vivait avec Kamimura part pour New York. Curieusement Akiko, Yuzuko, et Kamimura s’entendent très bien. Notamment les deux femmes
semblent très amies. En fait, toutes les deux, ou plutôt tous les trois avec Kamimura partagent un secret. Mais parfois le visage d’Akiko s’assombrit. De plus pourquoi Mayu n’apparaît-elle jamais ?
Pourtant on entend bien le son de sa voix."



D’autre part…
L’ECBP soutient le projet de Regina GOERGER d’organiser des performances de danse buto sur le littoral africain de 2005 à 2015 ainsi que sa collecte de fonds.
Par ailleurs, Regina présentera son spectacle le dimanche 31 mai 2009 au parc de Bellville.
la performance de Regina Goerger
"poussière
lumineuse
silencieuse
poussière"



rendez-vous et accueil : 20h45 entrée rue Julien Lacroix
metro Belleville (lignes 11 et 2)
important : la performance aura lieu par tous les temps
durée 30 minutes environs / entrée libre





Tarifs :

Normal : 15€
Adhérents: 7€
Réduit : 12€
Réservations :
Espace Culturel Bertin Poirée
ASSOCIATION CULTURELLE FRANCO-JAPONAISE DE TENRI
8-12, rue Bertin Poirée 75001 Paris
Métro : Châelet, Pont-Neuf
Tél : 01 44 76 06 06
E-mail : ecbp@tenri-paris.com
 
Super ^^

La librairie Grand-Guignol [LYON]

Bonjour !
Dernier rendez-vous : mardi 23 juin à 20h30, nous accueillons le duo Yukiko Nakamura (danse) / Nicolas Desmarchelier (dessins en live). Vous pourrez également assister à un solo de Liping Ting (danse et film).
5€.
Pour ce dernier événement, notre cave se transformera en écrin des corps en mouvement et de la main dessinant.
Trois artistes au programme, trois singularités fortes dans le champ de l’improvisation : nous avons déjà accueilli Yukiko Nakamura deux fois, pour des performances d’une intensité rare. Cette danseuse nous avait fortement impressionnés au cours d’un très beau duo de danse (avec Yoko Higashi), qui avait convié des fantômes assez intimidants. Puis nous l’avions revue en duo avec le saxophoniste Masayoshi Urabe, pour ce qui reste comme l’un des moments les plus beaux et les plus fous dans la cave de la librairie.
Mardi prochain, elle sera accompagnée par Nicolas Desmarchelier, que nous connaissons bien pour l’avoir accueilli à de nombreuses reprises. Cette fois, le guitariste laissera son instrument dans sa housse, lui préférant le stylo : il exécutera en direct des dessins qu’il projettera sur les murs, sa main répondant en écho au corps de Yukiko.
Enfin, cette soirée sera pour nous l’occasion d’accueillir pour la première fois la danseuse Liping Ting. Cela faisait longtemps que nous voulions lui ouvrir notre cave, ce sera chose faite mardi prochain. Liping dansera pendant qu’un film sera vidéo projeté sur son corps.




Yukiko Nakamura

« Yukiko Nakamura est née au Japon, elle commence la danse classique à l'age de 8 ans. En 1992, elle s'installe à Paris, et se tourne plus spécifiquement vers la danse contemporaine en participant à plusieurs créations et avec différents chorégraphes. La création "l'Amour n'est jamais un incident de parcours" à laquelle elle participe en 1999 à Paris lui fait découvrir la voie du théâtre sous la direction d'Olivier Pauls. A Nancy, en 2000, elle prend part à une expérience d'improvisation collective, "Umwelt" avec Ly Thanh Tîen (performer), Ting Li Ping (danseuse, performer), Le Quan Ninh (percussionniste) et Etienne Caire (cinéaste). En 2000 également, l'enseignement de Masaki Iwana, un des plus grands danseurs de Butô, lui permet de saisir clairement comment se révéler, par la voie du corps, le sentiment intérieur le plus enfoui. Elle s'est actuellement engagée dans une recherche personnelle, soit en solo, soit en collaboration avec des artistes de différentes disciplines. »




Liping Ting

« La pratique de Li-Ping Ting évolue à partir de mouvements de marches, qui regroupent diverses disciplines comme la poésie sonore, l’art action, la danse, et les musiques expérimentales. Elles font écho aux marches humanitaires, en évolution, ou en détérioration. Li-Ping Ting met ces marches face à une actualité, ou du moins face à notre temps, en s’entourant, lors de ces performances, d’objets quotidiens comme les pavés, le sucre, le graphisme au sol, les plumes, et en intégrant le public comme faisant partie du paysage de l’action. À partir d’un solo, Li-Ping Ting invite plusieurs artistes dont Esther Ferrer, Ben Patterson, Serge Pey, Charles Pennequin à contribuer à ses marches en poésie, et procède alors, à un travail d’accumulation, de numérotation, de compression, d’obstruction ou d’effacement.

Li-Ping Ting Artiste chorégraphe, issue du théâtre expérimental, elle conçoit, crée ses projets en interaction avec le public, dans lesquels elle se met en scène en qualité d’actante-invitée-observatrice. Elle fait partie du collectif Topophonie (depuis 1998), mouvement expérimental de recherche dans des lieux publics, organise la revue live annuelle Informo (aux Instants Chavirés depuis 2002) et les rencontres inter-disciplinaires d’In-Ouïr « ça vaut jamais le réel » depuis 2004. Avec l’association In-Ouir, elle a été régulièrement invitée au festival « musique action » de Vandoeuvre-lès-Nancy et récemment au festival « Sonorités » de Montpellier. »

http://madiot.free.fr/li%20ping.htm



Après diverses études et expériences où se croisent les arts plastiques, la musique punk, le jazz, il se consacre depuis une dizaine d’année à l’improvisation. En 1994 il rejoint les membres du Collectif Ishtar. Depuis, il multiplie les rencontres et croise les arts, danse, peinture, poésie, vidéo. Il a notamment eu le plaisir de partager les sons avec olivier Toulemonde, Michel Doneda, Jérôme Noetinger, Lionel Marchetti, René Lussier, Seijiro Murayama, Ulrich Phillipp, Martine Altenburger, Gérard Fabbiani, Camel Zekri, Annette Krebs, Andrea Neumann, Tetsu Saïtoh, Mathieu Chamagne, Carole Rieussec, Jean-Christophe Camps … En dehors des expériences purement musicales, Il travaille notamment avec Laure Terrier (danse), Li Ping Ting (performance), Alexandra Vuillet (marionnettiste)
On a pu entendre son travail à : Musique Action (Vandoeuvre les Nancy), Densités (Verdun), LEM festival (Barcelone), Festival des Musiques Innovatrices (St Etienne), les Instants Chavirés (Montreuil), le Horlieu (Lyon), l’Extrapool (Pays-Bas), la Malterie (Lille), APO33 (Nantes), Kafé Myzik (Lyon), Humanoise (Wiesbaden)…
Son travail : « Je pratique la guitare acoustique corde nylon, l’accord très détendu. je gratte les cordes avec un médiator épais en pierre. Privilégiant l’instrument acoustique au dispositif amplifié, j’apprécie la diversité de ses timbres et la large amplitude des volumes. C’est plus l’exploration de l’objet sonore, de son potentiel acoustique en général qui m’intéresse, et moins le développement d’un jeu purement guitaristique. Laisser venir, lâcher le mental afin d’être dans un rapport concret au son, à la façon d’un peintre, d’un sculpteur, c’est la voie actuelle que je suis. » »
-_-_-_-_-_-_-
Grand-Guignol
91, montée de la Grande Côte
69001 Lyon
04 78 30 50 42
http://guignols-band.blogspot.com/
http://www.librairie-grandguignol.net/
 
Un petit lien sympa...
http://ithaque.empreinte-d-histoire.fr/

Sinon sur Lyon:
Atelier BUTO :

en octobre
-les dimanches
le 18, le 25

-les mardis
le 6, le 27

en novembre
-les dimanches
le1er

-les mardis
le 3, le10

en decembre
-les mardis
le 1er, le 8




Horaires:
de 10h30 à 13h pour dimanche
de 20h à 21h30 pour mardi




Tarif:
dimanche
18euros/
15euros pour : étudiants, bénéficiaires du RMI.

mardi
15euros
12euros pour: étudiants etc..

+ 10 euros de la cotisation annuelle de la salle pour ceux qui ne sont pas participé au atelier en mai ou juin .

Adresse est toujours: 23 rue Tramassac 69005 Lyon

Attention!
-L'inscription par mail est obligatoire, au plus tard 10 jours avant la date de l'atelier.
-Si le nombre de participant est inférieur à 3 personnes, l'atelier sera annulé.
-Une fois vous êtes inscrits,en cas de annulation de la participation, le frais de annulation sera exigé (sinon c'est difficile à gérer! merci de votre compréhension..).
Annulation 2jours avant : 5 euros
Annulation la veille ou le jour même: 10 euros


Merci et au plaisir de vous revoir


tel 06 09 46 31 46
yôko higashi : hamaYôko


http://www.myspace.com/hamayoko
http://www.hapax-magazine.fr
http://www.entracte.co.uk/project/hamayoko-e52/
http://territoire.tracelab.com/

http://phono-photo.tracelab.com/#collection4
http://phono-photo.tracelab.com/#collection5




http://fr.youtube.com/watch?v=xhBOkLwPTrw
http://fr.youtube.com/watch?v=5cHawv2YUj4
http://fr.youtube.com/watch?v=etypqpfjaSY
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[Danse/ダンス] Nakamura Yukiko @Grand-Guignol

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La librairie Grand-Guignol accueil la danseuse Nakamura Yukiko pour une performance solo de danse post-buto.

Yukiko Nakamura

« Yukiko Nakamura est née au Japon, elle commence la danse classique à l’age de 8 ans. En 1992, elle s’installe à Paris, et se tourne plus spécifiquement vers la danse contemporaine en participant à plusieurs créations et avec différents chorégraphes. La création “l’Amour n’est jamais un incident de parcours” à laquelle elle participe en 1999 à Paris lui fait découvrir la voie du théâtre sous la direction d’Olivier Pauls. A Nancy, en 2000, elle prend part à une expérience d’improvisation collective, “Umwelt” avec Ly Thanh Tîen (performer), Ting Li Ping (danseuse, performer), Le Quan Ninh (percussionniste) et Etienne Caire (cinéaste). En 2000 également, l’enseignement de Masaki Iwana, un des plus grands danseurs de Butô, lui permet de saisir clairement comment se révéler, par la voie du corps, le sentiment intérieur le plus enfoui. Elle s’est actuellement engagée dans une recherche personnelle, soit en solo, soit en collaboration avec des artistes de différentes disciplines. »

Crédit photo : Carlos Treviño

Catégorie: Danse/ダンス
Date: le lundi 31 mai à 20h30
Site Web: http://librairie-grandguignol.blogspot.com/
Email: grand.guignol#@!$laposte.net
Tarifs: 5€
Téléphone: 04 78 30 50 42
Adresse: 91 montée de la Grande Côte 69001 Lyon
Permalink : http://bentobox.jp/?p=1711
Kumo: Buto, Danse japonaise, Grand-Guignol, librairie, Nakamura Yukiko, ダンス, 舞踏
 
J'avais voulu la voir la fois dernière au Grand Guignol, mais sa présence a été annulée :(
T'y es allé Rodolphe ? Qu'est-ce que ça a donné alors ?
 
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